Saison 1 Episode 1 d’une série qu’on espère longue !
C’est l’occasion rêvée de parler anglais sans aller bien loin. L’idée c’est de pratiquer l’anglais à l’oral autour de sujets funs comme nos séries préférées. On vous encouragera à les regarder en anglais (sous titrées en anglais) et on vous dira pourquoi : c’est l’ADN de o’bEiNGLISH. Donc on s’y met ensemble pour gagner en confiance et en aisance (l’un vient avec l’autre, le plus souvent).
On a prévu deux fois par mois (hors vacances scolaires) les mardis soir de 19 à 21h. Et ça commence dès mardi 1er octobre.
On vous accueillera dans le loft de Ecollectif Briand. Si vous ne connaissez pas encore, alors c’est l’occasion de le découvrir. Ambiance chaleureuse, stimulante et décontractée garantie.
On vous demandera de vous inscrire, soit par téléphone soit par mail :
01-80-03-60-25
Ecollectif.briand@ville-courbevoie.fr
En petit groupe vous pourrez vous lancer à parler en anglais. C’est une véritable opportunité pour se lancer et pratiquer son anglais à l’oral, même – et surtout – s’il n’est pas parfait.
On commencera doucement, après avoir fait le tour de vos attentes et de vos idées, le thème de la première soirée sera celui des personnages de vos séries préférées. On vous présentera le o’logbook et vous pourrez créer le vôtre.
Et n’oubliez pas de nous suivre sur les réseaux sociaux ?
A bientôt !
o’bEiNGLISH partenaire de Ecollectif Briand à CourbevoieLa presse s’en était déjà fait l’écho dès le début de l’année : la maison dédiée à la jeunesse à Courbevoie allait bientôt ouvrir, annonçait Le Parisien.
C’est maintenant chose faite : le 3 juillet 2019, Ecollectif Briand a été inauguré en présence de M Jacques KOSSOWSKI, maire de Courbevoie, et de ses adjoints, Mme Marie-Pierre LIMOGE, première adjointe, Mme Sherazade DJEBARRI et M Jean SPIRI, ce dernier, délégué à la Jeunesse et à l’Education, étant à l’initiative du projet.
o’bEiNGLISH était bien sûr de la fête. Depuis un an, o’bEiNGLISH travaille avec les équipes municipales de Jean SPIRI, et notamment Anna KOUADIO, pour apporter sa touche à l’animation du lieu. La bonne maîtrise de l’anglais étant devenue incontournable pour les jeunes arrivant aujourd’hui sur le marché du travail, le partenariat entre les deux structures a paru, dès le départ, comme évident.
o’bEiNGLISH a créé pour cela un catalogue d’ateliers autour de l’anglais. Nous y proposons des stages de remise à niveau pendant les vacances scolaires. Nous proposons également un série-club qui amènera les participants à communiquer en anglais autour des séries qu’ils regardent. En effet, regarder une série en anglais, sous-titrée en anglais est un moyen très sûr et facile à mettre en œuvre pour améliorer son anglais. En parler ensuite avec d’autres, permet d’améliorer sa pratique orale. C’est le cœur de la méthode d’apprentissage de o’bEiNGLISH, qui, pour valoriser cet effort, a créé le o’logbook©.
Au sein de Ecollectif Briand, o’bEiNGLISH animera également bénévolement, un atelier mensuel sur les bonnes pratiques à connaître pour rédiger son CV et sa LM en anglais. Nous avons proposé des ateliers de préparation à un entretien d’embauche en anglais, ainsi que d’autres axés sur la préparation d’une année à l’étranger. Que ce soit au sein du programme ERASMUS ou pour un stage de fin d’études. Ce catalogue de proposition est à l’étude, vous trouverez très bientôt le programme définitif sur le site web.
o’bEiNGLISH est heureux et fier de participer dès son lancement à cette belle aventure, qui reflète les valeurs dans lesquelles nous croyons. Ce lieu profondément éco-responsable nous inspire. Nous savons qu’il a été conçu en étroite collaboration avec le Conseil Consultatif de la Jeunesse (CCJ) de Courbevoie, et notamment Antoine Martin, l’un des fondateurs de cette instance municipale. Ecollectif Briand a donc été conçu pour et par les jeunes. Sa conception très séduisante va permettre de sortir l’anglais de la salle de classe pour le mettre en pratique de diverses manières. Nous sommes persuadés que d’autres se dessineront très prochainement.
C’est une chance pour nous de bénéficier si tôt de la confiance et du potentiel d’attraction d’un projet riche, inspirant et ambitieux comme celui de Ecollectif Briand.
Dans ce contexte nous remercions particulièrement nos interlocuteurs Anna KOUADIO, Jean SPIRI ainsi que les équipes du BIJ (Bureau Information Jeunesse) emmenées par Emmanuel MEKONGO.
Nous attendons la rentrée avec impatience, et nous la préparons depuis nos lieux de vacances ! A très bientôt !
o’bEiNGLISH a deux ans !On dit que les organismes de formation en Ile de France ont une durée de vie moyenne de 2 ans et demi…
…Et bien nous savons déjà que nous la dépasserons ?
Le tournant de cette deuxième année s’est joué le 30 janvier 2019 lors du Forum Orientation Egalité des Chances à Courbevoie.
Ce fût l’occasion déjà d’un premier recrutement, celui de Dounia SHILI, d’abord au statut de stagiaire puis en CDD à temps partiel.
Pendant son stage, Dounia a pu participer à la préparation du forum du 30 janvier. o’bEiNGLISH avait pour mission d’y animer 3 ateliers autour des bonnes pratiques pour rédiger son CV et sa LM en anglais. Nous avons créé pour cette occasion un powerpoint à destination des lycéens de Courbevoie inscrits aux ateliers. Dounia les a animés avec peps et brio.
Ce forum a été l’occasion de rencontrer Arthur KENFACK responsable de l’axe Développement au sein de l’IIM, une des écoles de l’Institut Léonard de Vinci à Courbevoie-La Défense.
Il est venu nous rencontrer à l’issue du forum, pour nous dire qu’il nous avait observées de loin et qu’il souhaitait travailler avec nous dans le cadre des Bourses à Projet du deuxième semestre des L2. C’est ainsi que pendant 8 matinées de mars à juin, nous avons coaché 80 élèves concernés par ce programme pour qu’ils soient en mesure de rendre leurs livrables (cahiers des charges, revues de projet) en anglais. Cette opération a rencontré un réel succès auprès des étudiants. Elle sera reconduite plus largement pendant l’année scolaire 2019-2020 dès le mois d’octobre.
Notre participation au forum du 30 janvier a permis de renforcer les premiers contacts déjà pris avec les équipes de la Direction de la Jeunesse et de l’Education de la Mairie de Courbevoie, emmenées par M Jean SPIRI, maire adjoint et Anna KOUADIO. De ces échanges, découleront notre partenariat avec la Maison de la Jeunesse Ecollectif Briand, partenariat qui commence lui aussi dès septembre, après une inauguration en grande pompe le 3 juillet dernier.
Au cours de cette année écoulée, nous avons également renforcé notre ancrage local en participant à de nombreux ateliers organisés par la Direction du Développement Economique de la Mairie de Courbevoie. Le calendrier des ateliers proposés aux entrepreneurs locaux est mis en place par le Guichet Unique Attractive Courbevoie, un dispositif que bien des entrepreneurs nous envient ailleurs.
o’bEiNGLISH est également membre de deux clubs locaux, le Club Dirigeants 92 et le Club POLD Entreprises, dont je parlerai plus longuement dans un autre article.
C’est avec confiance et enthousiasme que nous entrons dans la 3ème année de cette aventure entrepreneuriale.
o’bEiNGLISH en collaboration avec Léonard de VinciSi vous nous suivez sur les réseaux sociaux, ou si vous lisez assidûment nos articles de blog, vous êtes déjà au courant : Léonard de Vinci et o’bEiNGLISH travaillent main dans la main depuis le 7 mars dernier. Si vous ne nous suivez pas encore, nous nous devons de préciser que ce n’est évidemment pas avec le célèbre peintre de la Joconde, mais bien avec le pôle universitaire Léonard de Vinci à la Défense.
Nous intervenons en tant que coachs linguistiques tous les jeudis auprès des étudiant.es de 2ème année de l’IIM (Institut de l’Internet et du multimédia), dans le cadre de la bourse aux projets. Les étudiant.es ont quatre mois pour monter un projet en équipe, qui répondra au besoin de leur client.e (plan de communication, refonte de site web, nouveaux logos etc.). Le rôle de o’bEiNGLISH est de les accompagner pendant l’élaboration de leur projet, tant dans la traduction de leurs documents écrits, que dans la présentation finale de leurs projets à l’oral en anglais.
C’est lors de notre participation au Forum Orientation et égalité des chances de Courbevoie que nous avons été approchées par Arthur Kenfack, responsable du département Développement web/ mobile et management de la transformation digitale de l’IIM.
Ce professionnel du digital nous a fait part d’un constat simple : l’anglais est devenu incontournable dans les secteurs de la communication et du web, et les étudiant.es se doivent de le maîtriser. Son désir est de leur donner toutes les cartes en main pour réussir professionnellement, en France comme à l’étranger. Ils sont en fin de 2ème année et Arthur, leur prof, souhaite qu’en fin de 5ème année l’anglais ne soit plus un sujet pour eux. Alors o’bEiNGLISH les y prépare, et les entraîne à l’oral comme à l’écrit. A l’issue de leur formation, ils pourront devenir les digital nomads qu’ils rêvaient d’être en embrassant cette carrièreNotre objectif est donc de leur apporter un anglais 100% personnalisé, en relation directe avec leur domaine d’études, et en fonction du niveau de chacun. L’enseignement personnalisé pour tous étant dans l’ADN de o’bEiNGLISH, c’est avec enthousiasme que nous avons accepté de relever ce défi, et que nous intervenons chaque semaine auprès des étudiant.es de l’IIM. Sommes-nous en train de former le ou la futur.e Mark Zuckerberg ? L’avenir nous le dira. 😉
o’bEiNGLISH en collaboration avec Léonard de VinciSi vous nous suivez sur les réseaux sociaux, ou si vous lisez assidûment nos articles de blog, vous êtes déjà au courant : Léonard de Vinci et o’bEiNGLISH travaillent main dans la main depuis le 7 mars dernier. Si vous ne nous suivez pas encore, nous nous devons de préciser que ce n’est évidemment pas avec le célèbre peintre de la Joconde, mais bien avec le pôle universitaire Léonard de Vinci à la Défense.
Nous intervenons en tant que coachs linguistiques tous les jeudis auprès des étudiant.es de 2ème année de l’IIM (Institut de l’Internet et du multimédia), dans le cadre de la bourse aux projets. Les étudiant.es ont quatre mois pour monter un projet en équipe, qui répondra au besoin de leur client.e (plan de communication, refonte de site web, nouveaux logos etc.). Le rôle de o’bEiNGLISH est de les accompagner pendant l’élaboration de leur projet, tant dans la traduction de leurs documents écrits, que dans la présentation finale de leurs projets à l’oral en anglais.
C’est lors de notre participation au Forum Orientation et égalité des chances de Courbevoie que nous avons été approchées par Arthur Kenfack, responsable du département Développement web/ mobile et management de la transformation digitale de l’IIM.
Ce professionnel du digital nous a fait part d’un constat simple : l’anglais est devenu incontournable dans les secteurs de la communication et du web, et les étudiant.es se doivent de le maîtriser. Son désir est de leur donner toutes les cartes en main pour réussir professionnellement, en France comme à l’étranger. Ils sont en fin de 2ème année et Arthur, leur prof, souhaite qu’en fin de 5ème année l’anglais ne soit plus un sujet pour eux. Alors o’bEiNGLISH les y prépare, et les entraîne à l’oral comme à l’écrit. A l’issue de leur formation, ils pourront devenir les digital nomads qu’ils rêvaient d’être en embrassant cette carrièreNotre objectif est donc de leur apporter un anglais 100% personnalisé, en relation directe avec leur domaine d’études, et en fonction du niveau de chacun. L’enseignement personnalisé pour tous étant dans l’ADN de o’bEiNGLISH, c’est avec enthousiasme que nous avons accepté de relever ce défi, et que nous intervenons chaque semaine auprès des étudiant.es de l’IIM. Sommes-nous en train de former le ou la futur.e Mark Zuckerberg ? L’avenir nous le dira. 😉
DIPLONOVA une marketplace pour mettre en avant l’offre des artisans de la formationDepuis quelque mois, je suis avec intérêt, sur LinkedIn le profil de Steven CHAZAL, le créateur de DIPLONOVA, une startup angevine. Ses posts éclairent de manière pertinente un monde en pleine mutation : celui de la formation professionnelle continue.
En effet depuis le 1er janvier 2019 tout a changé.
Les OPCA sont devenus, pour certains, des OPCO (opérateurs de compétences).
Le 1% formation est désormais perçu par la Caisse des Dépôts et Consignations. Et nous attendons l’arrivée de la plateforme France Compétences et du référentiel de certification.
DIPLONOVA c’est un site web
Certes, mais pas que…
Sur ce site web les artisans de la formation peuvent présenter leur offre et c’est maintenant le cas des formations o’bEiNGLISH.
Nous vous y présentons notre catalogue de formations et c’est une grande fierté pour nous.
Car en effet, j’ai découvert il y a peu la plateforme Défi Métiers qui présente l’offre de formation en Ile de France, ce qui représente déjà une belle opportunité de mise en avant. Mais sur Défi Métiers, nous partageons l’affiche avec les poids lourds du secteur, qui font un peu d’ombre aux jeunes pousse comme o’bEiNGLISH. Il est donc difficile de s’y faire une place au soleil. C’est ainsi.
Et puis, c’est là que Steven CHAZAL nous a contactés en message privé pour nous annoncer la naissance de DIPLONOVA. Et là j’ai dit oui tout de suite. En effet, pour un abonnement tout à fait compatible avec le fonds de roulement d’une petite structure, voilà l’offre de formation de o’bEiNGLISH mise en avant sur une plateforme nationale ! Une aubaine.
DIPLONOVA c’est un site web expert du monde complexe de la formation
DIPLONOVA est un miroir de l’écosystème complexe du monde de la FPC. Et notamment il se fait fort de proposer aux organismes de formation de sortir leur BPF (bilan pédagogique et financier) chaque année au mois d’avril.
A terme il va également permettre aux acteurs de la formation de louer des salles chez les uns et les autres, par exemple.
DIPLONOVA fait de la veille en ce qui concerne les mutations qui agitent le secteur et notamment en ce qui concerne l’obligation de certification pour 2021.
Enfin DIPLONOVA, est un expert du marketing digital : pour chaque formation mise en ligne DIPLONOVA a prévu un cartouche qui reprend les mots clés stratégiques pour en améliorer le référencement naturel et donc la remontée en haut de la liste GOOGLE de nos organismes et de nos offres.
o’bEiNGLISH participe aux événements de L’ASSOCIATION 100 000 ENTREPRENEURSJ’ai entendu parler de l’association 100 000 entrepreneurs et j’ai immédiatement été très intéressée par sa mission : transmettre la culture d’entreprendre et promouvoir l’entrepreneuriat auprès des jeunes des lycées pour leur proposer des exemples d’entrepreneurs inspirants.
Après avoir visionné leur préparation en ligne, j’ai reçu un appel de leur part pour me proposer de participer aux événements organisés dans les Hauts de Seine au mois de mars, mois de l’entrepreneuriat féminin.
J’ai donc participé à plusieurs événements, l’un à la CCI de Nanterre où nous avons rencontré des lycéens des lycées professionnels notamment ceux du lycée Paul Painlevé à Courbevoie. L’autre au salon Ronsard de l’Hôtel de Ville de Levallois-Perret où des lycéens de Léonard de Vinci avaient été conviés. Enfin, je vais participer à un troisième événement de ce type au lycée Paul Eluard de Saint Denis. J’ai pu leur raconter, avec d’autres entrepreneuses ce nouveau métier de chef d’entreprise, que je vis depuis bientôt deux ans avec o’bEiNGLISH.
Il s’agissait d’un échange permanent entre eux et nous. Dans cette optique, l’association 100000 entrepreneurs nous avait préparé un petit guide des thématiques à aborder pendant les 40 minutes d’échanges que nous avions avec les jeunes regroupés par groupes de dix !
1 – Echange autour de la notion d’entreprendre : Faire comprendre ce qu’entreprendre signifie (se mobiliser pour monter un projet à partir d’une envie). Il y a plusieurs façons d’être entrepreneur (Chefs d’entreprise, Professions libérales, commerçants, artisans …), échanges autour des qualités pour entreprendre …
2 – Echange autour du parcours professionnel : Raconter son aventure d’entrepreneur : En quoi consiste leur aventure, En quoi consiste l’idée de départ, Quelle est son originalité, quel a été le déclic pour se lancer ? Ne pas cacher ses difficultés à entreprendre …
3 – Echange autour de l’Entreprise et son environnement : Secteur d’activité : l’industrie, les services, le commerce ? Qui sont leurs clients, quels sont leurs besoins, quels sont leurs concurrents, quels sont leurs fournisseurs ? Aborder le fonctionnement de leur entreprise, les mécanismes de rentabilités…
4 – Echange autour de la formation : Quelles études poursuivies ? Quelles ont été les difficultés éventuelles et comment ont-elles été surmontées ? Quel est l’avantage de poursuivre des études supérieures ? Quel est l’intérêt des matières enseignées …
Quand on leur parle d’entrepreneuriat, les jeunes ont souvent une image de start up à succès comme BlaBla Car ou FaceBook. Avant d’être le Mark Zuckerberg ou le Frédéric Mazella de demain, je les ai amenés à identifier leur boulanger, le pressing de leur rue, le bar tabac ou encore le kebab de leur quartier comme autant d’entrepreneurs. Nous nous sommes penchés sur la façon dont on pouvait définir un entrepreneur. Je leur ai proposé la mienne : c’est quelqu’un qui crée son propre emploi, et qui a la capacité d’en créer d’autres.
Beaucoup de fantasmes autour du fait qu’on est son propre patron. Certes, nous avons la capacité de faire des choix stratégiques. Mais au bout du compte, le banquier reste notre patron, ainsi que l’URSSAF, l’administration fiscale etc. La marge de manœuvre est somme toute assez mince, entre le respect de la loi et la nécessité d’être profitable.
J’ai pu en tous cas transmettre ma passion pour la formation en anglais et la direction d’entreprise, ma fierté d’avoir créé le o’logbook, et j’ai pu à la fois ressentir et peut être leur transmettre que l’entrepreneuriat était avant tout une affaire de passion. Sur cette photo, les post-it rédigés par les lycéens à l’issue des événements : un feedback très réjouissant.
o’bEiNGLISH participe à l’atelier I love English à Courbevoie le 11 avril prochainUn atelier est organisé à Courbevoie le 11 avril à 19h pour en débattre : o’bEiNGLISH a l’honneur d’y participer, avec Flora BELOT, Jean ESSONE et Katherine MALAPKOUR BIARD ! voici quelques uns de nos arguments.
Aujourd’hui, les jeunes reprennent le chemin des cours d’anglais en ce moment, pour plusieurs raisons. Deux raisons semblent néanmoins devenir incontournables :
Ils n’ont guère envie de cours trop classiques, et ils sont face à un choix maintenant énorme. o’bEiNGLISH leur propose une méthode originale, peu académique mais très efficace pour améliorer rapidement leur niveau d’anglais en se basant sur leurs centres d’intérêt – séries, films, jeux vidéo, livres. Son appli le o’logbook est là pour les soutenir et valoriser leur démarche.
Comment s’y prendre ? dès le plus jeune âge, pourquoi pas ? essayons !
Certes, on dit maintenant : pas d’écran avant trois ans. Cependant, il est tout à fait possible de proposer aux enfants de regarder un Disney en anglais (sans télécommande pour zapper). Cette démarche, si elle est soutenue dans le temps, va contribuer à se former l’oreille à cette autre langue, et favoriser ensuite les circuits d’apprentissage.
On est tous d’accord : on ne peut pas à la fois s’émerveiller des enfants Néerlandais ou Suédois qui parlent bien l’anglais dès le plus jeune âge et en même temps, refuser que nos enfants s’y mettent très tôt.
Certains opposeront le fait que pour certains enfants, notamment les dyslexiques, cela peut poser des problèmes. Et ils ont raison. Mais fort heureusement nous disposons en France d’un réseau compétents d’orthophonistes pour les accompagner.
Pour le plus grand nombre des jeunes aujourd’hui, il y a plus de risque à ne pas maîtriser l’anglais qu’il y en a à s’exposer à des difficultés d’apprentissage de leur langue maternelle en même temps que l’anglais.
A force d’avoir protégé la langue française, on a rendu la France étanche et les français imperméables à l’anglais mais c’est en train de changer et tant mieux, notamment grâce à l’offre Netflix qui a largement popularisé les séries anglo-saxonnes tout en permettant de les regarder en VO avec les sous titres en anglais.
De plus SKYPE a intégré dans sa plateforme un traducteur automatique par la voix qui prend déjà en charge une dizaine de langues… et cela ne va pas s’arrêter là. Donc la machine fera toujours mieux et plus vite que l’homme, dans toutes les langues. Apprendre une langue étrangère relèvera bientôt de la curiosité intellectuelle – comme certains apprennent encore le latin ou le grec – ou bien d’une absolue nécessité : professionnelle ou personnelle. Mais sinon, SKYPE nous permettra de nous sortir de la plupart des situations où nous ne maîtrisons pas la langue étrangère de l’autre.
Dans le paysage international, l’anglais tient maintenant une place à part : il est devenu partout la langue des échanges interculturels.
Alors chez o’bEiNGLISH nous ne sommes pas loin de penser que, après avoir protégé la langue française à tout prix, nous aurions besoin que le rattrapage du retard pris en anglais dans l’hexagone devienne à son tour une grande cause nationale.
Cette question du bilinguisme dès le plus jeune âge sera abordée lors d’un atelier I LOVE ENGLISH à Courbevoie, organisé par MME Aurélie TAQUILLAIN maire adjointe, et son mouvement d’idées I love Courb’.
Venez nombreux au KIDS PALACE.
o’bEiNGLISH sélectionné pour les projets tuteurés des étudiant.es de Master 1 Communication Digitale de l’IIM (Institut de l’Internet et du multimédia)Le 28 février dernier, o’bEiNGLISH a été reçu au pôle universitaire Léonard de Vinci, pour assister à la soutenance des étudiant.es de Master 1 Communication Digitale de l’IIM. En effet, quelques mois auparavant, o’bEiNGLISH avait été sélectionné comme objet d’étude dans le cadre des projets tuteurés. Nous avions donc rencontré 30 étudiant.es, réparti.es en 5 équipes, avec un seul objectif : élaborer une stratégie de communication pour améliorer la visibilité de l’entreprise via les réseaux sociaux. Les 5 équipes ont alors monté une agence de communication où chacun.e a endossé un rôle précis : graphiste, community manager ou encore responsable marketing, dans le but de nous proposer la stratégie de communication la mieux adaptée à notre situation.
Le jour de la soutenance, les 5 agences créées pour l’occasion nous ont donc présenté leurs projets. Lors de ce défilé d’idées, 2 agences se sont fait remarquer. Nous avons en effet particulièrement apprécié leurs présentations soignées, leur dynamisme, et le fait qu’elles aient, à la différence des autres, fixé des objectifs chiffrés pour les réseaux sociaux, ce qui permet d’avoir un but précis à atteindre. Nous avons aussi été très sensibles au fait que ces agences se soient focalisées sur une stratégie de promotion du o’logbook, création majeure de o’bEiNGLISH, qui n’a pas été traité par les autres équipes.
Chaque agence nous a soumis des propositions intéressantes et originales, des clés pour gérer au mieux nos réseaux sociaux et améliorer notre visibilité. Nous entreprenons actuellement de tester celles qui nous ont plu, en les appliquant sur nos réseaux sociaux Instagram, Facebook et Linkedin, afin d’évaluer leur efficacité au fil des jours.
Nous sommes extrêmement satisfaites de cette collaboration avec les étudiant.es, qui ont enrichi l’entreprise par leur regard jeune de spécialistes de la communication digitale. Ce qui convient à o’bEiNGLISH, qui tient à garder un esprit moderne et dynamique, pour s’adresser de façon pertinente au plus grand nombre. Cette collaboration est également très bénéfique aux étudiant.es, qui sont plongés dans une « simulation » d’agence de communication, où ils doivent travailler en équipe, respecter des deadlines et élaborer des solutions concrètes pour répondre aux attentes du client pour lequel ils travaillent. Cette expérience leur permet de travailler sur un cas réel, et d‘apprendre des critiques émises par le client, comme du professeur évaluateur, présent lors de la soutenance.
Nous tenons donc à remercier chaleureusement toutes les équipes d’étudiant.es de Master 1 en communication digitale de l’IIM pour le travail qu’elles ont fourni afin de présenter leurs projets pour o’bEiNGLISH. Nous sommes plus que ravies de cette expérience, et espérons les croiser dans les couloirs du pôle universitaire Léonard de Vinci, où nous officions actuellement en tant que coachs auprès des étudiant.es de L2 métiers du développement web. Mais il faudra prendre son mal en patience et attendre un prochain article pour en savoir plus à ce sujet… 😉
Bonne semaine à tous !
« OBJECTIF NUMÉRIQUE » – 23 mars 2019 le BIJ de Bois-Colombesvous propose un tour d’horizon
Quel est mon avenir dans le numérique ? C’est la bonne question que s’est posée la ville de Bois-Colombes qui organise toute une semaine « Objectif Numérique » autour des multiples réponses possibles à cette vaste question. Les jeunes – et ceux qui le sont moins – peuvent être confrontés à cette question à plus d’un titre.
Pour tenter d’y apporter des réponses concrètes et inspirantes, la ville propose tout un programme d’activités orchestré par le BIJ – Bureau Information Jeunesse – et son animateur multimédia Louis-Georges AMAR.
Parmi ces activités, le BIJ de Bois-Colombes a organisé deux visites pour les jeunes : l’une dans les locaux de ORANGE, l’autre dans ceux de FREE – je vous le disais : c’est concret et inspirant.
Le BIJ de Bois-Colombes nous a contactés pour intervenir lors de la journée du 23 mars prochain. La première intervention prévue à midi, sera consacrée à l’aventure de l’entrepreneuriat avec une idée – sans nécessairement être un geek soi-même. J’y raconterai la naissance du o’logbook© et l’aventure de la création de l’entreprise autour cet cette idée novatrice. Je mettrai l’accent sur le fait que je n’étais pas une geek confirmée, loin de là. Mais en étant bien entourée par des partenaires recommandés par son réseau, puis sélectionnés avec soin, cela n’a pas été un obstacle.
Je suis devenue le « chef de projet utilisateur » de ma propre idée.
Dans ce parcours j’ai été accompagnée par les agences numériques HELIOP, BALTAZARE et EXPERTISME. Je continue de l’être dans le cadre de projets tuteurés, avec deux écoles du numérique : IIM qui fait partie du pôle universitaire LEONARD DE VINCI, à Courbevoie et EFREI à Villejuif dans le département du 92.
La deuxième intervention ce jour-là sera consacrée au rôle clé que joue la langue anglaise dans les métiers du numérique. A plus d’un titre d’ailleurs. L’anglais joue dans ces métiers un rôle essentiel car les premières ressources auxquelles les développeurs, créateurs, marketeurs font appel sont en ligne. Ils sont vite confrontés aux limites des ressources francophones. Ne pas maîtriser l’anglais dans les métiers du numérique, c’est se fermer 50% au moins des ressources du web.
Le plus souvent, quand on choisit un métier en lien avec l’économie numérique, on rêve de devenir un « digital nomad ». C’est-à-dire, d’avoir pour seul bureau son ordinateur et sa connexion internet et de pouvoir répondre à ses clients où qu’on soit dans le monde, et pourquoi pas sur une plage en Grèce ou à Bali. Certes, cela fait rêver, surtout ces jours-ci où les giboulées de mars ajoutent à la grisaille parisienne. Un digital nomad ne parlera que très rarement le grec ou l’indonésien. Si vous voulez voyager tout en travaillant dans l’économie numérique, vous devrez parler l’anglais. Et ce, partout dans le monde.
Pour la suite de ces interventions, on se retrouve à au BIJ de Bois-Colombes, 79 rue Charles Duflos, le 23 mars prochain à 12h et à 16h. Vous pouvez télécharger le programme en cliquant ici.
On compte sur vous ! A très bientôt !